Pourquoi sommes-nous toujours débordés?
On vit dans un monde où on a « acheté » le fait que pour réussir, il faut travailler fort.
Même si on sait que ça ne fait pas de sens, la plupart d’entre nous sommes devenus accro à l’idée. Par conséquent, nous sommes devenus incapables de créer de l’espace dans nos journées et on se sent trop souvent à bout de souffle et en perte de focus.
Pourquoi est-ce si facile de travailler aussi fort ?
4 raisons et 4 solutions
Être satisfait de la facilité
Il semble que la satisfaction du travail bien accompli, suite à un grand effort ou à un grand souci du détail (même si l’impact est petit sur vos résultats), soit plus grande que lorsque c’est facile…
C’est comme si, dans notre esprit, la facilité était liée à la paresse ou à la chance et que ça ne compte pas ou que ce n’est pas bien (ou mérité). Avoir un impact en étant simplement authentique ou gagner de l’argent facilement, ça ne s’aligne pas toujours avec nos croyances.
🧡 En mettant le focus sur la simplicité, vous travaillerez moins. Prenez l’habitude de célébrer la facilité dans votre vie et vous y prendrez goût.
Accueillir l’inconfort
Face à nos peurs, les débordements deviennent une bouée de sauvetage. Quand on craint le jugement ou l’échec, c’est beaucoup plus facile de se défiler en s’éparpillant ailleurs. On peut ainsi mieux justifier pourquoi « on n’a pas eu le temps » de faire ce qu’on sait qu’on aurait dû faire.
Évidemment, au fond de nous, nous savons que nous faisons de l’évitement, mais ça nous apparait quand même plus confortable que d’affronter ce qui nous fait peur.
🧡 Prenez le temps d’accueillir l’inconfort. C’est plus facile de vaincre un ennemi qu’on connait.
Se responsabiliser
C’est rassurant quand on peut se dire : je n’y peux rien… Au lieu de se responsabiliser et de faire des choix courageux (comme dire non, attaquer une situation de front ou quitter un emploi qu’on aime plus), c’est déculpabilisant de se dire qu’on n’y peut rien et que c’est « à cause » de notre patron, de nos enfants, de notre conjoint ou même de la vie qui nous tombe dessus.
🧡 Chaque jour, observez vos comportements. Agissez-vous proactivement ou réactivement?
Planifiez vos journées
Bien des gens vont quelque part, mais peu savent où… Quand on ne sait pas où on va, on ne sait pas quoi prioriser et on passe beaucoup de temps à s’agiter, sans avancer.
🧡 Planifiez-vous vos journées en prenant bien soin de savoir pourquoi chaque activité est importante et sur quoi votre attention doit aller.
Devenez hyper – (zen) performant

Sans les bons réflexes, nous sommes tous amenés à travailler trop fort, à manquer de focus et à réduire notre IMPACT, nos RÉSULTATS et donc, notre FIÈRTÉ et notre GRATITUDE envers la vie.
À quelle catégorie appartenez-vous?
Au club des “débordés” ou à celui des “workaholics”?
Moi je fais partie des deux…
Eh! Je vis dans le même monde que vous 😉
CELA DIT…. Avec le temps, j’ai appris à devenir hyper – (zen) performante.
Chaque semaine, je choisis de faire de la place pour moi, ma famille, mon développement et mes amis. Je m’empêche ainsi de tomber dans le piège de travailler trop fort pour rien (ce qui serait vraiment facile!!!). Évidemment, cela me force à faire des choix difficiles, mais chaque fois, je reviens vers ma vision, mes objectifs et mes valeurs, puis j’accepte que tout est parfait… imparfaitement.
C’est ça être (zen) – performante!
Du travail, des urgences et des opportunités, il y en aura toujours plus. Mais du temps pour vivre et laisser sa trace, il en manquera un jour.
~ Sujata Vadlamudy
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Poursuivons la conversation dans les commentaires…
À quelle catégorie appartenez-vous? Au club des » débordés », à celui des » workaholics » ou des « hyper- (zen) performants»?